lundi

Fabrication : Comment éviter le nanocotage à la soude ou à la lampe à souder. Production : How to avoid nanocoating with soda or a blowtorch.

PREAMBULE : la première difficulté à laquelle on est confronté pour réaliser n'importe quel Gans est le nanocotage de la bobine de cuivre. C'est la raison pour laquelle notre premier article est dédié à trois procédés de nanocotage sans passage dans la soude, ni à la lampe à souder. Nous avons travaillé avec du Zinc parce que c'est plus rapide, mais les 3 procédés marchent indifféremment avec du Zinc, du Cuivre, du Fer ou même un bâton de Magnésium.


PREAMBLE : the first difficulty we face in making any Gans is the nanocoating of the copper coil. This is why our very first article is about to 3 nanocoating processes without using soda or a blowtorch. 

1/ premier procédé

- un bac 3/5 litres ou une bouteille d'eau minérale vide en plastique de 5 litres.
         - de l'eau du robinet 
         - du Zinc 
         - 2 fils de cuivre multi-filament pour relier les electrodes à la pile
         - bobine de cuivre monofilament à nanocoter
         - du sel de mer
         - une pile ou batterie rechargeable 1,5 Volt

eau distillée ou permutée si l'eau du robinet ne convient vraiment pas


Nous allons procéder comme Keshe énergie, mais sans nanocoter le fil de cuivre.

- remplir le bac ou la bouteille avec 3 litres d'eau du robinet.
- mettre 10% de sel marin (pour 3 L mettre 300 g de sel de mer).
- mettre dans l'eau le zinc* relié à un fil de cuivre multi-filament.
- mettre dans l'eau un fil cuivre mono-filament de 1,5 mm² relié à un fil de cuivre multi-filament.
- brancher le fil du zinc sur le + de la pile et fil du cuivre sur le -.

Attendre quelques secondes, les bulles vont monter du fil de cuivre mono-filament.
Comme le fil de cuivre n'est pas nanocoté au préalable, au début, c'est un peu lent, mais Ô magie au bout de 3/4 heures, vous aurez un mélange CO2/Zinc et surtout un fil de cuivre qui sera nanocôté pendant l'expérience.
Donc plus vous utiliserez ce mono-filament de cuivre plus il va s'auto-nanocoter.
Je ne comprends pas que Keshe Energie nous fasse passer par un nanocotage à la soude ou à la lampe à souder ce qui est dans les deux cas assez délicat.
La seule explication de l'auto-nanocotage est que lors de l'expérience le fil de cuivre monofilament capte le carbone de l'air et non pas de la bouteille en plastique parce que l'expérience dans une bouteille de verre est aussi concluante.


* pour obtenir du zinc, il faut démonter une pile Carbone/Zinc ou saline  de 6 volts achetée en GSS, il y a 4 récipients cylindriques de zinc à l'intérieur, vous trouverez aussi 4 bâtons de graphite ou carbone




2/ deuxième procédé


- un bac 3/5 litres ou une bouteille d'eau minérale vide en plastique de 5 litres par exemple 
- de l'eau du robinet 
- du Zinc 
- des fils de cuivre multi-filament
- un bâton de graphite*
- du sel de mer
- une pile ou batterie rechargeable 1,5 Volt

Cette fois, pour éviter le nanocotage, nous allons remplacer le fil de cuivre nanocoté par un bâton de graphite.

- remplir le bac ou la bouteille avec 3 litres d'eau du robinet.
- mettre 10% de sel marin (pour 3 L mettre 300 g de sel de mer).
- mettre dans l'eau le zinc* relié à un fil de cuivre multi-filament de 1,5 mm².
- mettre dans l'eau le bâton relié à un fil de cuivre multi-filament.
- brancher le fil du zinc sur le + de la pile et fil du cuivre sur le -.

Simplement, l'expérience démarre comme si nous avions une bobine de cuivre nanocoté. Le bâton de carbone remplace largement la bobine de cuivre nanocotée.



3/ troisième procédé



Comme le deuxième procédé, mais nous allons entourer le bâton de graphite ou carbone d'un fil de cuivre pour former une bobine, le carbone migrera pendant l'expérience vers la future bobine de cuivre nanocotée. Le nanocotage semble peut-être plus rapide que dans les deux premiers procédés.
En effet, tout au long du procédé, le carbone du bâton va nanocoter le fil de cuivre qui l'entoure.
On peut ensuite se débarrasser du bâton de graphite et ne garder que la bobine nanocotée.



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Déduction : fort de l'idée que le nanocotage peut être créé par électrolyse, nous avons remplacé le cuivre à nanocoter de la borne moins -  par du Zinc, de l'Argent, de l'Or enfin du Fer. Ces éléments sont proches dans la classification des éléments de Mandeleïev.

Avec du Zinc sur les deux bornes, 
nous obtenons du ZnO/CO2 




Avec l'Argent borne moins - et le zinc borne +
nous obtenons du ZnO/CO2



Pas de ZnO/CO2 avec l'Or 

Si on fait une exception pour Argent, Seuls les éléments de la quatrième ligne dans la classification des éléments donnent du ZnO/CO2, on serait en droit de penser au moins que des éléments réducteurs comme le Nickel et le Cobalt donne du ZnO/CO2. 



Conclusion : Le nanocotage est un amorçage pour arriver à notre but, plus vous allez  garder la même bobine de cuivre nanocotée longtemps, plus cette dernière va se renforcer au fil du temps.
On peut le penser car le carbone semble intervenir seulement physiquement dans l'expérience alors que le zinc intervient chimiquement. Au bout d'une vingtaine de bain, le zinc sera dégradé alors que la bobine nanocotée semble rester intacte.
L'idée que le nanocotage est lié au récipient en plastique n'a pas de sens puisque l'expérience marche aussi bien dans un récipient en verre.
Il faut reconnaître que Keshe est un génie d'avoir trouvé cette méthode pour obtenir des Gans à la maison. Nous verrons l'application dans différents domaines de ces Gans et Ormus (Gans des druides) ce dernier découvert par les égyptiens. 

dimanche

Fabrication d'un Ormus sous pH 10,78 sans pHmètre; Production Ormus under 10,78 pH without pHmeter

Pour boire l'eau plasmatique de l'Ormus en toute tranquillité, il est dit qu'il faut que ce dernier soit fabriqué avec un pH inférieur à 10,78. Ce pH me semble arbitraire, mais qu'importe, moins il y aura de soude dans la fabrication, plus on aura envie d'en boire.

Le pH moyen de l'eau de mer se maintient entre 7,5 et 8,5, si on mesure celui de la Méditerranée, des côtes bretonnes et landais, on est plutôt à 8,5. Il faudra donc faire plus attention à la quantité de soude à mettre que si on était dans le cas d'un pH à 7,5.

Roland Barbanchon nous montre qu'avec 30 ml ou 6 c.à.c. de lessive de soude à 30% dans 4 litres d'eau de mer, le pH de 10,78 n'est pas dépassé, cela semble bon puisqu'il boit l'eau plasmatique de l'Ormus et s'en porte très bien. 

Cette quantité va aussi très bien pour les plantes, les fleurs, les arbres, les légumes, les fruits en pulvérisation de notre culture sur sol vivant. Attention, les plantes digèrent beaucoup mieux que les êtres humains les métaux lourds. 

Fort de ce raisonnement, il me semble plus raisonnable de passer de 30 ml pour 4 litres à 13,3 ml.

13,3 ml de lessive de soude à 30% dans 4 litres correspondent exactement à 1g/l de soude en cristaux soit 0,1% et 0,1% d'une base forte comme la soude n'a jamais fait de mal à personne, les aliments industriels sont bien plus nocifs.

Protocole pour faire un Ormus dense et rapidement avec seulement 13,3 ml de lessive de soude. Surtout ne cherchez pas à secouer la bouteille, la seringue achetée en GSS a déjà fait le travail, attendez 12 h pour que l'Ormus ait une épaisseur environ un demi-centimètre.






12h
épaisseur Ormus 0,5 cm

Une fois l'Ormus complètement précipité avec une épaisseur d'un demi-centimètre, vider la bouteille de l'eau de mer tout en laissant l'Ormus dans la bouteille, remplir avec l'eau du robinet la bouteille à nouveau (4litres) et laisser décanter l'Ormus pour qu'il arrive à nouveau à un demi-centimètre. Renouveler deux autres fois cette opération, goûter l'eau, elle ne devrait plus être salée.

Conserver l'Ormus à l'abri de la lumière dans une bouteille en verre.

Attention, si vous voulez stocker longtemps l'Ormus ne pas le mélanger avec un Gans

Nous verrons plus tard, que le mélange Ormus/Gans de CuO est très efficace pour la culture sur sol vivant.

ATTENTION : Cette méthode est rapide et fiable, mais on récolte moins d'Ormus que si on avait injecter 30 ml ou plus, pourquoi pas ? Mais on peut boire l'eau plasmatique de l'Ormus sans souci. 

Bien que certains le font, on vous déconseille de boire l'Ormus ou même de secouer la bouteille avec d'en boire.

Comme l'Ormus est à l'état de nano particules, il faut bien comprendre que ce n'est pas l'Ormus en tant que matière qui est bon, mais son état vibratoire que l'on retrouve dans l'eau de votre bouteille. Seule l'eau est capable de capter les états vibratoires grâce à sa mémoire.

CONCLUSION : Cela a peu d'importance que l'on fabrique peu d'Ormus chaque fois pour la simple et la bonne raison que l'on boit seulement l'eau (grâce à sa mémoire) dans laquelle il est.

Conséquence de ce qui vient d'être dit, si vous conservez bien l'Ormus à l'abri de la lumière, il peut être éternel...

c.f. Mémoire de l'eau et ses états vibratoires  Marc Henry


P.S. pour s'amuser, nous avons mis 120 ml dans la seringue pour 4 litres d'eau. Le résultat est impressionnant pour seulement 4 litres. Faudrait-il s'y pencher dessus ?, peut-être que les plantes accepteraient au moins l'eau plasmatique de l'Ormus. Si tel est le cas, on peut traiter des hectares avec quelques bouteilles.....Vous imaginez les économies pour un agriculteur en traitements divers.



vendredi

Fabrication du Gans de CuO

 On peut dire que c'est l'essai le plus délicat et de loin. Nous verrons plus tard qu'il faut s'y pencher parce que CuO a une grande importance surtout pour la culture sur sol vivant et l'entretien d'un bassin.

Process habituel comme pour les autres Gans mais au delà d'une heure de fabrication il faut surveiller l'expérience comme le lait sur le feu, ça tourne souvent au jaunâtre ou au bleuâtre ce qui n'est pas bon.

Le bain fini, laisser le liquide dans le récipient de l'expérience, dès que le CuO aura précipité (vers 12 h, n'attendez pas trop, la réaction semble continuer dans l'eau salée), vider le récipient sans laisser échapper le précipité de CuO et remplir le récipient d'eau du robinet. 

Le CuO retombé entre 18 et 24 h, vider l'eau sans le CuO et le mettre en bouteille définitivement si sa couleur n'a pas virée. La bouteille de conservation en verre sera remplie d'eau du robinet. 

Remarque 1 : Il semble que la durée de l'expérience varie en fonction d'un seul paramètre : la bobine de cuivre nanocôtée. C'est la raison pour laquelle il faut rester le plus possible avec la même bobine pour mettre toutes les chances de notre côté.

Pour les autres Gans, il faut suivre les indications Kf SSI ou Plasma Laurentides, ils ne présentent pas de soins particuliers comme suscite le Gans de CuO.    




Couleur à surveiller de près
dès 1 heure d'expérience



Bonne couleur CuO
à converser dans une bouteille en verre


Remarque 2 : On peut remarquer en fin d'expérience que le CuO produit garde quelques points foncés qui ressemblent à du Cuivre détaché de l'électrode non nanocôtée. Ce qui est surprenant, une fois le résultat mis dans la bouteille en verre ces grains disparaissent. La réaction continuerait elle dans la bouteille en verre et il ne resterait que du CuO ? 

jeudi

Utilisation : Ormus et Gans pour soin de la personne ; Using : Ormus and Gans for healing

Premiers résultats :

- Avec un baume imprégné d'Ormus et de CuO, disparition d'un kyste en trois mois.

L'application du baume a été loin d'être régulière dans ce cas.

- Disparition d'un psoriasis récent en quelques jours avec un baume imprégné de gans ZnO + CuO + NH3

 - Kyste sébacé avec un gans de Zinc/CO2



Dossier spécial  : eau du robinet 

Pour débarrasser l'eau du robinet de ses éléments plus ou moins toxiques, nous avons choisi de nous en remettre d'une part aux perles de céramique EM ((comment ça marche) et une 5 ml (une cuillère à café) d'eau plasmatique de CuO.


Une fois l'eau filtrée par les perles, nous ajoutons dans un verre tous les matins quelques millilitres d'eau d'Ormus, de CuO ou ZnO.


Dentifrice : Eau plasmatique de CuO + Argile (argile verte ou azomite ou zéolithe) si vous êtes courageux ajouter du clou de girofle moulu.



Utilisation : Culture sur sol vivant, Ormus et Gans ; Using : Cultivation on living soil



La culture sur sol vivante nécessite beaucoup de précautions. Nature du sol, traitements, amendement, exposition au soleil, etc...
Le traitement le plus efficace trouvé est une pulvérisation d'eau plasmatique d'Ormus et d'eau plasmatique de CuO.
La beauté de la chose c'est que, puisque qu'on utilise que l'eau plasmatique du Gans ou de l'Ormus, vous pouvez traiter des hectares avec seulement l'apparence de l'eau.
Nos succès en culture sur sols vivants ne sont pas seulement dus aux Gans et Ormus, notre substrat et amendement sont particuliers. Nous y reviendrons plus tard. 

Quelques résultats :
- Revitalisation en quelques semaines d'un pêcher après avoir été dévoré par un chevreuil (eau plasmatique d'Ormus + eau plasmatique de CuO)

- Onagre de plus d'1m30 dans un substrat de 15 cm de hauteur

- Bien que l'année ne soit pas propice aux pois gourmands, nous avons une récolte très correcte.
- Le propriétaire d'un papyrus est revenu de vacances pendant 4 semaines sans mauvaise surprise, alors qu'il n'avait une réserve que de 12 litres.





mardi

Utilisation: Ormus et Gans pour l'eau de la piscine et canalisation Using : Ormus et Gans for swimming pool water et water pipe

 Si on connait un tant soit peu la génèse de la désinfection des piscines et les Gans, à priori on sera tout de suite tenté de mettre du Gans de CuO.

En effet, il n'y a pas si longtemps, quand un bassin municipal se troublait, on ne faisait pas appel au fameux choc chloré, mais au sulfate de cuivre qui a fait ses preuves en milieu alcalin dans l'agriculture à travers de doux nom de "bouillie bordelaise".

Les raisons invoquées de l'époque pour la suppression de ce produit peu cher et efficace est qu'il était soi disant mauvais pour la peau. Cela reste à prouver.

Mais cette fois comme les quantités sont infinitésimales, il n'y a plus à redouter cet argument douteux.

Notre expérience avec un bassin de balnéo : 

Voici les 2 principaux essais :

- Une bouteille d'un litre d'eau avec au fond 1/2 cm d'Ormus 2/3  + 1/3 CuO  

- Une bouteille  d'un litre d'eau avec au fond 1/2 cm Gans 1/2 Zinc/CO2 + 1/4 CUO + 1/4 Fe/NH3

Une fois par semaine pendant 6 semaines.

Au début légère amélioration de la clarté de l'eau. C'est assez irrégulier.

Au bout de deux mois l'eau est claire, Je crois que c'est Keshe qui dit que les canalisations s'imprègnent de l'Ormus et des Gans ce qui semble vrai et rend eau claire pour longtemps. A vérifier avec le temps, si l'eau se trouble à nouveau, nous ferons à nouveau le traitement. 

Pour info : dans la même veine, si vos canalisations d'évacuation sentent une odeur nauséabonde, secouer une bouteille d'un litre avec un peu d'Ormus/CuO au fond et la vider, elles ne sentiront plus.

Fabrication : Comment éviter le nanocotage à la soude ou à la lampe à souder. Production : How to avoid nanocoating with soda or a blowtorch.

PREAMBULE : la première difficulté à laquelle on est confronté pour réaliser n'importe quel Gans est le nanocotage de la bobine de cuivr...